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octobre 2017

My Ladies Rock

//MY LADIES ROCK

Comment vous est venue l’idée de My Ladies Rock ? Dans My Rock je rend hommage aux hommes du rock. J’ai voulu faire la même chose pour les femmes, avec My Ladies Rock. J’ai découvert que derrière chaque rockeur que j’avais choisi pour My Rock, il y avait une femme qui correspondait mais qui n’était pas mise en avant. Elle restait dans l’ombre. J’ai essayé de faire un miroir entre mes deux oeuvres. L’un renvoie à l’autre. Dans My Ladies Rock, je veux rendre hommage aux femmes du rock mais aussi aux femmes en général.

La Nouvelle République, 15 août 2022

La joie des artistes au moment des rappels, heureux d’enfin retrouver le public qui les a ovationné, était palpable et communicative, un grand moment de bonheur partagé, enfin !

Le Télégramme, 26 mai 2021

Des ballets poétiques, enragés de liberté, sur les morceaux révoltés des reines de la culture pop-rock, paroles violentes, défouloirs et marges, où les mythes féminins irradient … Ce spectacle événement est à découvrir !

Sud Ouest, 4 février 2019

Magnétique par Benoît Perrier.

RTS, 28 janvier 2019

Laissez-vous guider par Nathalie Coursac.

France Bleu Provence, 16 janvier 2019

Le grand agenda du week-end par Olivier Bordes.

France Bleu Normandie, 5 janvier 2019

"My Rock" et "My Ladies Rock" : let’s dance, again.

Petit Bulletin, 20 novembre 2018

Ces femmes qui ont fait le Rock.

Dauphiné Libéré, 21 octobre 2018

Le public de l’Espace des Arts a fait le plein d’énergie avec ’My Ladies Rock’.

Info Chalon, 9 octobre 2018

My Ladies Rock, danza e parità di genere al Festival dei Due Mondi di Spoleto.

Formiche, juillet 2018

Tutta l’energia delle signore del rock da stasera a Domencia.

Corriere Dell Umbria, 6 juillet 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Ouest France, 19 juin 2018

L’eretico della danza e le signore del rock

La Repubblica, 15 juin 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Journal De la Corse, 15 juin 2018

Jean-Claude Gallotta invité de Marie Bronzini.

Dernier cri sur France Bleu, 30 mai 2018

The 11 dancers, clearly happy to be dancing to this music, unleash a vitality that is in perfect harmony with the singers. They put the stage to sword and fire.(...) A very generous show that demonstrates how intelligence and fun can go hand-in-hand.

Ballet 2000, mars/avril 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

TVR Bretagne, 22 mai 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Ouest France, 9 mai 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

France 3 Bretagne, 18 mai 2018

(...) Avant de laisser place à un final explosif de Jean-Claude Gallotta. My Ladies Rock révèle un engagement féminin puissant, évoluant crescendo sur une playliste minutieusement choisie.

La Strada, mars 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Le Populaire du centre, 12 mars 2018

Ce spectacle est d’utilité publique.

État critique.com, 28 janvier 2018

Un spectacle joyeux et nostalgique, tellement tourbillonnant qu’immanquablement, il donne envie de danser… le rock !

Atlantico, 25 janvier 2018

Une friandise à savourer avec un plaisir certain.

L’oeil d’Olivier, 28 janvier 2018

On ne s’ennuie pas un seul instant.

Web Théâtre, 23 janvier 2018

My Ladies Rock, chorégraphie de Jean-Claude Gallotta.

Théâtre du blog, 18 janvier 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Scène Web, 23 janvier 2018

Un punch de comédie musicale.

Télérama, janvier 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

The Wonderful World of Dance, janvier 2018

Un tableau inouï et enchanteur [...] Jean-Claude Gallotta livre là un nouvel opus réjouissant.

Le Figaro Magazine, 26 janvier 2018

"My Ladies Rock" : égéries chéries.

Reportage TV5 Monde.

Révolte et liberté, Le rock au féminin est dans tous ses états.

Interview de Jean-Claude Gallotta - France 3 Île-de-France.

Jean-Claude Gallotta invité d’ Antoine de Caunes.

Popopup sur France Inter... À 38’23

Une playlist de 14 titres savamment choisis par le chorégraphe. Un tourbillon joyeux et nostalgique qui donne envie de danser.

Scène Web, 13 janvier 2018

Dynamique, intransigeante, virtuose, la chorégraphie de Jean-Claude Gallotta fait vaciller la banalité, lui substituant fréquemment le retour à l’humour et à l’inventivité permanente…

ON magazine, 24 janvier 2018

Jean-Claude Gallotta (...) livre ici un sacré hommage aux rockeuses. Enthousiasmant !

Causette, janvier 2018

Jean-Claude Gallotta met des tigresses dans son moteur [...] Courses excitées, portés qui volent, au jeu d’agrippe-moi si tu peux, la gestuelle de Gallotta en connaît un rayon et s’en amuse.

Le Monde, 19 janvier 2018

"Quatorze séquences s’enchaînent sur une playlist de choc avec pour fil rouge la danse pulsative et animale du chorégraphe qui explore la fougue, la liberté, la fêlure, la hargne de la rock attitude au féminin. Explosif, sensuel, poétique, le vocabulaire pulse, dévale, embrasse le plateau entre jeu d’élans, de suspensions, puis de courses incessamment relancées, jaillissements, chutes et soubresauts, et imprime dans un geste d’ivresse et de frénésie, la trace indélébile de cette mémoire du rock au féminin.

Publik’Art, 19 janvier 2018

"My Ladies Rock" rajeunissent Jean-Claude Gallotta

facebook.com/philippe.gonnet.presse, 16 novembre 2017

"My Ladies Rock”, quand Jean-Claude Gallotta rend hommage aux icônes féminines du rock

Interview pour le JT 19/20 de France 3 Alpes, 11 novembre 2017

Jean-Claude Gallotta : Avec ces rockeuses, j’ai l’impression de toucher davantage l’émotion

Les Affiches de Grenoble, 3 novembre 2017

Les reines du rock se dansent à fleur de peau

Le Berry Républicain, 29 septembre 2017

Jean-Claude Gallotta invoque les reines du rock

Le Berry Républicain, 28 septembre 2017

Versions fémines

Le Berry Républicain, 19 septembre 2017

Le versant féminin de My Rock à la MCB°

Le Berry Républicain, 15 septembre 2017


autres

France 3 Rhône-Alpes - Ce Jour là - 7 février.

MANIP : N’est-il pas difficile de transmettre un ensemble de gestes, surtout quand il y a en réalité une forte part d’individualité qui entre dans la façon dont chaque interprète s’en empare ? J.-C. G. : C’est une question très profonde. Pour moi, c’est l’écriture qui compte, c’est-à-dire que ce qu’on fabrique, peu importe ce qui sort de nous, peut devenir écriture. Et c’est ce que j’essaie de récolter pour pouvoir transmettre. Mais ce n’est que la cendre de la danse, en fait. Ce n’est pas la danse, parce que dans la danse, il y a justement l’individu, l’interprète, qui amène aussi des choses. Et pourtant, il y a une écriture qui sort de cela, que l’on va essayer de transmettre. C’est impossible à faire, mais il faut le faire. Et pour cette écriture, avec ma compagne Mathilde Altaraz, nous avons mis au point, sinon une pédagogie, du moins un lexique. Il se définit à partir de l’écriture et de la vidéo. On espère qu’avec ce bout d’écriture, l’interprète va amener aussi son humanité, sa charge, et dépasser finalement l’aspect technique ou l’aspect écriture. Beaucoup de chorégraphes ont décidé de ne pas transmettre pensant qu’iels ne pourront pas gérer cette part d’humanité, parce qu’iels ne pourront transmettre que l’écriture et que, pour elleux, l’écriture est trop pauvre. Le paradoxe est que pour trouver de l’humanité, on est obligé d’avoir une écriture, une écriture qui est certes pauvre, néanmoins c’est la seule.

MANIP : Quid de la question de la notation, du langage qui rend une écriture puis une lecture possibles ?
J.-C. G. : Il y a plusieurs techniques. Comme, pour ma part, je suis né avec la vidéo, j’ai utilisé la vidéo. Donc je n’avais pas besoin d’écriture spécifique. On a là une chose précise pour que tout le monde puisse voir. Sans doute l’écriture va-t-elle au-delà, peut-être dans la vidéo est-ce l’interprète qui amène la charge, mais tant qu’on est vivant·e, on peut dire ce que l’on recherchait, au-delà de la part d’interprétation possible. Quand nous avons été sollicité·es avec Mathilde Altaraz pour faire beaucoup de transmission, nous avons inventé ce lexique, qui est un mélange de vidéo et d’écriture. Nous essayons de donner le maximum de chances à l’interprète d’être au plus près de ce qu’iel doit interpréter.
N. R. : Tout est écrit chez Philippe Genty. La plupart de ses spectacles viennent de rêves qu’il a couchés sur papier. Toutes ses réflexions, toutes ses notes, sont répertoriées. Philippe a toujours fait des storyboards, il dessine, fait des collages également, et ensuite, comme pour Jean-Claude, la vidéo est arrivée. Les vidéos ont permis aussi d’avoir un répertoire filmé. Et en plus, nous avons la chance d’avoir encore Philippe et Mary qui sont là et peuvent répondre à nos questions.

MANIP, 14 octobre 2024

Radio France Bleu Isère
Jean-Claude Gallotta était l’invité de Nelly Gautier dans l’émission Les Isérois Formidables
du 11 janvier - extrait à écouter ici.

J’avais surtout envie de m’exprimer avec la danse. L’idée était de montrer que le danse est un art parmi les autres et qu’on peut partager cette âme pour être ensemble. Puis, on a demandé à la compagnie d’animer des lieux difficiles, ou pas forcément de théâtre, des hôpitaux, des Ehpad, des prisons. Je me suis familiarisé à ça, et finalement j’ai vu que les gens n’étaient pas là pour regarder un spectacle mais plutôt pour se sentir bien dans leur corps, comme une thérapie en fait. C’est venu avec le temps et le contact avec la société. Du coup, j’ai développé ça, c’est formidable car ça marche, les gens sont contents. Dans ces temps un peu chaotiques, pas faciles, je trouve que c’est pas mal d’amener un peu d’oxygène pour se sentir un peu vivant.

La Voix du Nord, 12 octobre 2023

Notre compagnie fait des bals depuis très longtemps (…) Réunir les gens, à une époque où il y a de plus en plus de clivages, quand ça fonctionne, ça donne de l’espoir. Ça peut paraître utopique, mais pendant ce temps là, il se passe quelque chose… C’est une très belle initiative qui joint la créativité et le populaire, c’est l’essence même de la danse !

Magazine Communautaire, septembre/octobre 2023

Il faut danser pour se libérer ...

Dauphiné Libéré, 5 août 2023

Inside : Quelles sont les émotions que vous procure encore votre métier ?

Jean-Claude Gallotta : C’est un métier du vivant. Et avec le vivant, il y a toujours des surprises. Que cela soit avec la compagnie ou avec le public. Tout ce mouvement génère une énergie folle. Une fraicheur ïnouïe qui rend le processus de création intact, même après toutes ces années au service de la création artistique.

Inside, automne 2022

Muriel Boulay, une vie qui danse.

Le Figaro, 24 juin 2022

Biennale Tous créateurs : dernière ligne droite pour les petits danseurs.

Dauphiné Libéré, 11 mai 2022

« Extraordinaire ! Étincelant ! Quelle beauté ! Prodigieux ! sont les commentaires que l’on pouvait entendre ce weekend en sortant de l’Opéra Confluence. Un public subjugué par cette magie que la danse peut engendrer quand, et ce fut le cas à l’Opéra Grand Avignon, tout est réuni pour offrir aux plus exigeants un spectacle chorégraphique d’une rare qualité. »

Projecteur tv.com, 24 mai 2021

" Mathilde Altaraz incarne la danseuse absolue avec une personnalité et un physique hors du commun. Surdouée, touchante, simple, elle est de la trempe des grands artistes."

Le Dauphiné Libéré, 22 mars 2021

" J’ai continué à danser dans la nature"

Le Petit Bulletin, 10 juin 2020

Trois chorégraphes qui ont révolutionné la danse contemporaine.

Télérama, 29 avril 2020

La chanson qui fait du bien Jean-Claude Gallotta nous propose Confinement : danser, malgré tout, avec Jean-Claude Gallotta

France Bleu Isère, 28 avril 2020

"Immortels" d’Alain Bashung

Le Dauphiné Libéré, 20 mars 2020

Les chorégraphies, signées Jean-Claude Gallotta et la bande-son, composée par Rodolphe Burger donnent au film, une beauté poétique.

Marianne, 22 janvier 2020

Accompagnée par la sublime BO de Rodolphe Burger et les chorégraphies inventives de Jean-Claude Gallotta.

Première, 15 janvier 2020

La réalisatrice a fait appel au chorégraphe Jean-Claude Gallotta pour que le mouvement fasse irruption, et disruption.

Le Monde, 15 janvier 2020

Une visite d’expo unique en son genre.

La Presse de la manche, 3 décembre 2019

La danse c’est une écriture.

La Presse de la manche, 5 décembre 2019

La danse de Gallotta à l’honneur.

Ouest France, 2 décembre 2019

Jean-Claude Gallotta : "La danse est une écriture"

Ouest France, 3 décembre 2019

Grenoble : le chorégraphe Jean-Claude Gallotta présente son nouveau projet

Le Dauphiné Libéré, 28 octobre 2019

La place de Metz fêtes a rentrée ce samedi

Le Dauphiné Libéré, 13 septembre 2019

Si on explique de manière créative et pédagogique que la planète est en danger, qu’il faut éviter de surconsommer, les enfants je pense le feront naturellement

Le Dauphiné Libéré, 27 août 2019

Uriage en danse : Un feu d’artifice de charme et de couleurs !

Le Dauphiné Libéré, 2 juillet 2019

Uriage en danse : imaginez que toute la ville s’en mêle !.

Le Dauphiné Libéré, 28 juin 2019

Revivez rêve de Bourges.

Le Berry, 15 juin 2019

Pour sa 5 ème édition la Fête des tuiles monte en gamme.

Le Dauphiné Libéré, 1er juin 2019

Le chorégraphe Jean-Claude Gallotta a assisté, hier vendredi, à la répétition générale de Trois Générations, la pièce qu’il a transmise au New Danse Studio.

La Montagne, 25 mai 2019

Rêves de Bourges, tout est parti de la passion avouée de Jean-Claude Gallotta pour la ville de Bourges, qu’il a notamment découverte en 2017 au moment de la création de son spectacle présenté à la Maison de la Culture, My Ladies Rock. « Je voyais des lieux qui m’inspiraient beaucoup et je me disais que ce serait bien de faire des chorégraphies là ».

Le Berry Républicain, 27 mai 2019

Rêves de Bourges, c’est une journée entière dédiée à la danse. Une représentation unique donnée gratuitement en ville, dans sept lieux différents, par une centaine de danseurs amateurs, avant un bal final devant le chantier de la Maison de la Culture de Bourges, sur le tube de Bashung, Gaby Oh ! Gaby.

Le Berry Républicain, 12 mai 2019

Le New Danse Studio, à Brive, dans les pas du chorégraphe Jean-Claude Gallotta.

La Montagne, 20 avril 2019

Hommes et femmes d’ici, venus d’ailleurs.

Entretien avec Fuxi Li, danseur de la compagnie, Dauphiné Libéré, 26 décembre 2018

"Il n’y avait aucune barrière à ma créativité !".

Interview de Jean-Claude Gallotta, Les Affiches de Grenoble, 14 décembre 2018

En voiture avec Jean-Claude Gallotta.

Émission de Nelly Gauthier, France Bleu Isère, 8 décembre 2018

Grenoble : la Maison de la culture fête ses 50 ans samedi 17 novembre.

France Bleu Isère, 12 novembre 2018

Une visite guidée pour des aveugles et des malvoyants au musée de Grenoble.

France 3, 11 novembre 2018

Mbappé est un danseur.

France Bleu Isère, 11 juillet 2018

Cette victoire, ça donne une cohésion sociale intéressante. C’est comme pour la danse, avec ce même partage...

Le Dauphiné Libéré, 16 juillet 2018

Danse pour tous.

Le Petit Bulletin, 27 juin 2018

La danse, ce formidable outil pour parler aux gens.

Le Dauphiné Libéré, 29 juin 2018

Rythmes endiablés, déhanchements chaloupés et bonne humeur étaient au rendez-vous.

La Montagne, 30 mai 2018

Dans le Grand Atelier consacré à Françoise Sagan, Vincent Josse invitait Jean-Claude Gallotta à parler de sa prochaine création… 104:24

France Inter, 3 décembre 2017

Times are changing, Jean-Claude Gallotta fête Bob Dylan

La Croix, 23 octobre 2017

Times are changing

Rebelle, 19 octobre 2017

Jean-Claude Gallotta : "Bob Dylan est un écorché vif qui m’inspire toujours autant"

Télérama, 18 octobre 2017

Théophile Alexandre au Volcan : "le baroque est une ode à l’acceptation de soi"

Reliko, 11 octobre 2017

Jean-Claude Gallotta, danseur et chorégraphe - Celui qui mène la danse

Vivre à Grenoble, mars 2017


octobre 2017

My Ladies Rock

//MY LADIES ROCK

Comment vous est venue l’idée de My Ladies Rock ? Dans My Rock je rend hommage aux hommes du rock. J’ai voulu faire la même chose pour les femmes, avec My Ladies Rock. J’ai découvert que derrière chaque rockeur que j’avais choisi pour My Rock, il y avait une femme qui correspondait mais qui n’était pas mise en avant. Elle restait dans l’ombre. J’ai essayé de faire un miroir entre mes deux oeuvres. L’un renvoie à l’autre. Dans My Ladies Rock, je veux rendre hommage aux femmes du rock mais aussi aux femmes en général.

La Nouvelle République, 15 août 2022

La joie des artistes au moment des rappels, heureux d’enfin retrouver le public qui les a ovationné, était palpable et communicative, un grand moment de bonheur partagé, enfin !

Le Télégramme, 26 mai 2021

Des ballets poétiques, enragés de liberté, sur les morceaux révoltés des reines de la culture pop-rock, paroles violentes, défouloirs et marges, où les mythes féminins irradient … Ce spectacle événement est à découvrir !

Sud Ouest, 4 février 2019

Magnétique par Benoît Perrier.

RTS, 28 janvier 2019

Laissez-vous guider par Nathalie Coursac.

France Bleu Provence, 16 janvier 2019

Le grand agenda du week-end par Olivier Bordes.

France Bleu Normandie, 5 janvier 2019

"My Rock" et "My Ladies Rock" : let’s dance, again.

Petit Bulletin, 20 novembre 2018

Ces femmes qui ont fait le Rock.

Dauphiné Libéré, 21 octobre 2018

Le public de l’Espace des Arts a fait le plein d’énergie avec ’My Ladies Rock’.

Info Chalon, 9 octobre 2018

My Ladies Rock, danza e parità di genere al Festival dei Due Mondi di Spoleto.

Formiche, juillet 2018

Tutta l’energia delle signore del rock da stasera a Domencia.

Corriere Dell Umbria, 6 juillet 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Ouest France, 19 juin 2018

L’eretico della danza e le signore del rock

La Repubblica, 15 juin 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Journal De la Corse, 15 juin 2018

Jean-Claude Gallotta invité de Marie Bronzini.

Dernier cri sur France Bleu, 30 mai 2018

The 11 dancers, clearly happy to be dancing to this music, unleash a vitality that is in perfect harmony with the singers. They put the stage to sword and fire.(...) A very generous show that demonstrates how intelligence and fun can go hand-in-hand.

Ballet 2000, mars/avril 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

TVR Bretagne, 22 mai 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Ouest France, 9 mai 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

France 3 Bretagne, 18 mai 2018

(...) Avant de laisser place à un final explosif de Jean-Claude Gallotta. My Ladies Rock révèle un engagement féminin puissant, évoluant crescendo sur une playliste minutieusement choisie.

La Strada, mars 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Le Populaire du centre, 12 mars 2018

Ce spectacle est d’utilité publique.

État critique.com, 28 janvier 2018

Un spectacle joyeux et nostalgique, tellement tourbillonnant qu’immanquablement, il donne envie de danser… le rock !

Atlantico, 25 janvier 2018

Une friandise à savourer avec un plaisir certain.

L’oeil d’Olivier, 28 janvier 2018

On ne s’ennuie pas un seul instant.

Web Théâtre, 23 janvier 2018

My Ladies Rock, chorégraphie de Jean-Claude Gallotta.

Théâtre du blog, 18 janvier 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

Scène Web, 23 janvier 2018

Un punch de comédie musicale.

Télérama, janvier 2018

Interview de Jean-Claude Gallotta.

The Wonderful World of Dance, janvier 2018

Un tableau inouï et enchanteur [...] Jean-Claude Gallotta livre là un nouvel opus réjouissant.

Le Figaro Magazine, 26 janvier 2018

"My Ladies Rock" : égéries chéries.

Reportage TV5 Monde.

Révolte et liberté, Le rock au féminin est dans tous ses états.

Interview de Jean-Claude Gallotta - France 3 Île-de-France.

Jean-Claude Gallotta invité d’ Antoine de Caunes.

Popopup sur France Inter... À 38’23

Une playlist de 14 titres savamment choisis par le chorégraphe. Un tourbillon joyeux et nostalgique qui donne envie de danser.

Scène Web, 13 janvier 2018

Dynamique, intransigeante, virtuose, la chorégraphie de Jean-Claude Gallotta fait vaciller la banalité, lui substituant fréquemment le retour à l’humour et à l’inventivité permanente…

ON magazine, 24 janvier 2018

Jean-Claude Gallotta (...) livre ici un sacré hommage aux rockeuses. Enthousiasmant !

Causette, janvier 2018

Jean-Claude Gallotta met des tigresses dans son moteur [...] Courses excitées, portés qui volent, au jeu d’agrippe-moi si tu peux, la gestuelle de Gallotta en connaît un rayon et s’en amuse.

Le Monde, 19 janvier 2018

"Quatorze séquences s’enchaînent sur une playlist de choc avec pour fil rouge la danse pulsative et animale du chorégraphe qui explore la fougue, la liberté, la fêlure, la hargne de la rock attitude au féminin. Explosif, sensuel, poétique, le vocabulaire pulse, dévale, embrasse le plateau entre jeu d’élans, de suspensions, puis de courses incessamment relancées, jaillissements, chutes et soubresauts, et imprime dans un geste d’ivresse et de frénésie, la trace indélébile de cette mémoire du rock au féminin.

Publik’Art, 19 janvier 2018

"My Ladies Rock" rajeunissent Jean-Claude Gallotta

facebook.com/philippe.gonnet.presse, 16 novembre 2017

"My Ladies Rock”, quand Jean-Claude Gallotta rend hommage aux icônes féminines du rock

Interview pour le JT 19/20 de France 3 Alpes, 11 novembre 2017

Jean-Claude Gallotta : Avec ces rockeuses, j’ai l’impression de toucher davantage l’émotion

Les Affiches de Grenoble, 3 novembre 2017

Les reines du rock se dansent à fleur de peau

Le Berry Républicain, 29 septembre 2017

Jean-Claude Gallotta invoque les reines du rock

Le Berry Républicain, 28 septembre 2017

Versions fémines

Le Berry Républicain, 19 septembre 2017

Le versant féminin de My Rock à la MCB°

Le Berry Républicain, 15 septembre 2017


autres

France 3 Rhône-Alpes - Ce Jour là - 7 février.

MANIP : N’est-il pas difficile de transmettre un ensemble de gestes, surtout quand il y a en réalité une forte part d’individualité qui entre dans la façon dont chaque interprète s’en empare ? J.-C. G. : C’est une question très profonde. Pour moi, c’est l’écriture qui compte, c’est-à-dire que ce qu’on fabrique, peu importe ce qui sort de nous, peut devenir écriture. Et c’est ce que j’essaie de récolter pour pouvoir transmettre. Mais ce n’est que la cendre de la danse, en fait. Ce n’est pas la danse, parce que dans la danse, il y a justement l’individu, l’interprète, qui amène aussi des choses. Et pourtant, il y a une écriture qui sort de cela, que l’on va essayer de transmettre. C’est impossible à faire, mais il faut le faire. Et pour cette écriture, avec ma compagne Mathilde Altaraz, nous avons mis au point, sinon une pédagogie, du moins un lexique. Il se définit à partir de l’écriture et de la vidéo. On espère qu’avec ce bout d’écriture, l’interprète va amener aussi son humanité, sa charge, et dépasser finalement l’aspect technique ou l’aspect écriture. Beaucoup de chorégraphes ont décidé de ne pas transmettre pensant qu’iels ne pourront pas gérer cette part d’humanité, parce qu’iels ne pourront transmettre que l’écriture et que, pour elleux, l’écriture est trop pauvre. Le paradoxe est que pour trouver de l’humanité, on est obligé d’avoir une écriture, une écriture qui est certes pauvre, néanmoins c’est la seule.

MANIP : Quid de la question de la notation, du langage qui rend une écriture puis une lecture possibles ?
J.-C. G. : Il y a plusieurs techniques. Comme, pour ma part, je suis né avec la vidéo, j’ai utilisé la vidéo. Donc je n’avais pas besoin d’écriture spécifique. On a là une chose précise pour que tout le monde puisse voir. Sans doute l’écriture va-t-elle au-delà, peut-être dans la vidéo est-ce l’interprète qui amène la charge, mais tant qu’on est vivant·e, on peut dire ce que l’on recherchait, au-delà de la part d’interprétation possible. Quand nous avons été sollicité·es avec Mathilde Altaraz pour faire beaucoup de transmission, nous avons inventé ce lexique, qui est un mélange de vidéo et d’écriture. Nous essayons de donner le maximum de chances à l’interprète d’être au plus près de ce qu’iel doit interpréter.
N. R. : Tout est écrit chez Philippe Genty. La plupart de ses spectacles viennent de rêves qu’il a couchés sur papier. Toutes ses réflexions, toutes ses notes, sont répertoriées. Philippe a toujours fait des storyboards, il dessine, fait des collages également, et ensuite, comme pour Jean-Claude, la vidéo est arrivée. Les vidéos ont permis aussi d’avoir un répertoire filmé. Et en plus, nous avons la chance d’avoir encore Philippe et Mary qui sont là et peuvent répondre à nos questions.

MANIP, 14 octobre 2024

Radio France Bleu Isère
Jean-Claude Gallotta était l’invité de Nelly Gautier dans l’émission Les Isérois Formidables
du 11 janvier - extrait à écouter ici.

J’avais surtout envie de m’exprimer avec la danse. L’idée était de montrer que le danse est un art parmi les autres et qu’on peut partager cette âme pour être ensemble. Puis, on a demandé à la compagnie d’animer des lieux difficiles, ou pas forcément de théâtre, des hôpitaux, des Ehpad, des prisons. Je me suis familiarisé à ça, et finalement j’ai vu que les gens n’étaient pas là pour regarder un spectacle mais plutôt pour se sentir bien dans leur corps, comme une thérapie en fait. C’est venu avec le temps et le contact avec la société. Du coup, j’ai développé ça, c’est formidable car ça marche, les gens sont contents. Dans ces temps un peu chaotiques, pas faciles, je trouve que c’est pas mal d’amener un peu d’oxygène pour se sentir un peu vivant.

La Voix du Nord, 12 octobre 2023

Notre compagnie fait des bals depuis très longtemps (…) Réunir les gens, à une époque où il y a de plus en plus de clivages, quand ça fonctionne, ça donne de l’espoir. Ça peut paraître utopique, mais pendant ce temps là, il se passe quelque chose… C’est une très belle initiative qui joint la créativité et le populaire, c’est l’essence même de la danse !

Magazine Communautaire, septembre/octobre 2023

Il faut danser pour se libérer ...

Dauphiné Libéré, 5 août 2023

Inside : Quelles sont les émotions que vous procure encore votre métier ?

Jean-Claude Gallotta : C’est un métier du vivant. Et avec le vivant, il y a toujours des surprises. Que cela soit avec la compagnie ou avec le public. Tout ce mouvement génère une énergie folle. Une fraicheur ïnouïe qui rend le processus de création intact, même après toutes ces années au service de la création artistique.

Inside, automne 2022

Muriel Boulay, une vie qui danse.

Le Figaro, 24 juin 2022

Biennale Tous créateurs : dernière ligne droite pour les petits danseurs.

Dauphiné Libéré, 11 mai 2022

« Extraordinaire ! Étincelant ! Quelle beauté ! Prodigieux ! sont les commentaires que l’on pouvait entendre ce weekend en sortant de l’Opéra Confluence. Un public subjugué par cette magie que la danse peut engendrer quand, et ce fut le cas à l’Opéra Grand Avignon, tout est réuni pour offrir aux plus exigeants un spectacle chorégraphique d’une rare qualité. »

Projecteur tv.com, 24 mai 2021

" Mathilde Altaraz incarne la danseuse absolue avec une personnalité et un physique hors du commun. Surdouée, touchante, simple, elle est de la trempe des grands artistes."

Le Dauphiné Libéré, 22 mars 2021

" J’ai continué à danser dans la nature"

Le Petit Bulletin, 10 juin 2020

Trois chorégraphes qui ont révolutionné la danse contemporaine.

Télérama, 29 avril 2020

La chanson qui fait du bien Jean-Claude Gallotta nous propose Confinement : danser, malgré tout, avec Jean-Claude Gallotta

France Bleu Isère, 28 avril 2020

"Immortels" d’Alain Bashung

Le Dauphiné Libéré, 20 mars 2020

Les chorégraphies, signées Jean-Claude Gallotta et la bande-son, composée par Rodolphe Burger donnent au film, une beauté poétique.

Marianne, 22 janvier 2020

Accompagnée par la sublime BO de Rodolphe Burger et les chorégraphies inventives de Jean-Claude Gallotta.

Première, 15 janvier 2020

La réalisatrice a fait appel au chorégraphe Jean-Claude Gallotta pour que le mouvement fasse irruption, et disruption.

Le Monde, 15 janvier 2020

Une visite d’expo unique en son genre.

La Presse de la manche, 3 décembre 2019

La danse c’est une écriture.

La Presse de la manche, 5 décembre 2019

La danse de Gallotta à l’honneur.

Ouest France, 2 décembre 2019

Jean-Claude Gallotta : "La danse est une écriture"

Ouest France, 3 décembre 2019

Grenoble : le chorégraphe Jean-Claude Gallotta présente son nouveau projet

Le Dauphiné Libéré, 28 octobre 2019

La place de Metz fêtes a rentrée ce samedi

Le Dauphiné Libéré, 13 septembre 2019

Si on explique de manière créative et pédagogique que la planète est en danger, qu’il faut éviter de surconsommer, les enfants je pense le feront naturellement

Le Dauphiné Libéré, 27 août 2019

Uriage en danse : Un feu d’artifice de charme et de couleurs !

Le Dauphiné Libéré, 2 juillet 2019

Uriage en danse : imaginez que toute la ville s’en mêle !.

Le Dauphiné Libéré, 28 juin 2019

Revivez rêve de Bourges.

Le Berry, 15 juin 2019

Pour sa 5 ème édition la Fête des tuiles monte en gamme.

Le Dauphiné Libéré, 1er juin 2019

Le chorégraphe Jean-Claude Gallotta a assisté, hier vendredi, à la répétition générale de Trois Générations, la pièce qu’il a transmise au New Danse Studio.

La Montagne, 25 mai 2019

Rêves de Bourges, tout est parti de la passion avouée de Jean-Claude Gallotta pour la ville de Bourges, qu’il a notamment découverte en 2017 au moment de la création de son spectacle présenté à la Maison de la Culture, My Ladies Rock. « Je voyais des lieux qui m’inspiraient beaucoup et je me disais que ce serait bien de faire des chorégraphies là ».

Le Berry Républicain, 27 mai 2019

Rêves de Bourges, c’est une journée entière dédiée à la danse. Une représentation unique donnée gratuitement en ville, dans sept lieux différents, par une centaine de danseurs amateurs, avant un bal final devant le chantier de la Maison de la Culture de Bourges, sur le tube de Bashung, Gaby Oh ! Gaby.

Le Berry Républicain, 12 mai 2019

Le New Danse Studio, à Brive, dans les pas du chorégraphe Jean-Claude Gallotta.

La Montagne, 20 avril 2019

Hommes et femmes d’ici, venus d’ailleurs.

Entretien avec Fuxi Li, danseur de la compagnie, Dauphiné Libéré, 26 décembre 2018

"Il n’y avait aucune barrière à ma créativité !".

Interview de Jean-Claude Gallotta, Les Affiches de Grenoble, 14 décembre 2018

En voiture avec Jean-Claude Gallotta.

Émission de Nelly Gauthier, France Bleu Isère, 8 décembre 2018

Grenoble : la Maison de la culture fête ses 50 ans samedi 17 novembre.

France Bleu Isère, 12 novembre 2018

Une visite guidée pour des aveugles et des malvoyants au musée de Grenoble.

France 3, 11 novembre 2018

Mbappé est un danseur.

France Bleu Isère, 11 juillet 2018

Cette victoire, ça donne une cohésion sociale intéressante. C’est comme pour la danse, avec ce même partage...

Le Dauphiné Libéré, 16 juillet 2018

Danse pour tous.

Le Petit Bulletin, 27 juin 2018

La danse, ce formidable outil pour parler aux gens.

Le Dauphiné Libéré, 29 juin 2018

Rythmes endiablés, déhanchements chaloupés et bonne humeur étaient au rendez-vous.

La Montagne, 30 mai 2018

Dans le Grand Atelier consacré à Françoise Sagan, Vincent Josse invitait Jean-Claude Gallotta à parler de sa prochaine création… 104:24

France Inter, 3 décembre 2017

Times are changing, Jean-Claude Gallotta fête Bob Dylan

La Croix, 23 octobre 2017

Times are changing

Rebelle, 19 octobre 2017

Jean-Claude Gallotta : "Bob Dylan est un écorché vif qui m’inspire toujours autant"

Télérama, 18 octobre 2017

Théophile Alexandre au Volcan : "le baroque est une ode à l’acceptation de soi"

Reliko, 11 octobre 2017

Jean-Claude Gallotta, danseur et chorégraphe - Celui qui mène la danse

Vivre à Grenoble, mars 2017


avril 2018

Comme un Trio

La chorégraphie alterne insouciance et gravité et c’est toute l’ambivalence de l’auteure qu’il nous est donné de voir.

Artistikrezo.com, 20 juillet 2019

C’est à un petit cérémonial amoureux que l’on assiste,ému, touché par cette gestuelle sans pareille...

Blog Geneviève Charras, 21 juillet 2019

Inspiré de "Bonjour Tristesse", Jean-Claude Gallotta signe une petite forme, un petit bijou, rien de triste, que du bonheur.

DL, 17 juillet 2019

Jean-Claude Gallotta s’inspire du roman et va chercher les travers de l’âme humaine. Le trio évolue avec beaucoup de sensualité (...) C’est une danse libérée, où les danseurs sont aussi acteurs. Ils jouent avec les sentiments et les sensations. Un spectacle très touchant, très apprécié du public.

JDC, 16 mai 2019

Pour Comme un trio, sa dernière création, c’est Françoise Sagan qui a captivé le chorégraphe (...) Gallotta, esprit libre, ayant dépassé le temps des affirmations, et qui s’intéresse à ce qui peut "faire danser les mots", lui a retrouvé et restitué son charme, celui d’une personnalité insolemment libre maniant une langue élégante et sincère. (...) Comme un trio, plongée tendre et poétique dans l’univers de Sagan.

Ballet 2000, avril 2019

« Comme un trio » d’après « Bonjour tristesse » de Françoise Sagan, nous donne à voir les tourments des corps désirables.

l’Est républicain, le 23 mars 2019

L’hôpital autrement : instants de grâce avec les danseurs de Jean-Claude Gallotta.

Dauphiné Libéré, le 12 mars 2019

Sagan a une écriture chorégraphique et des mots qui donnent l’envie du mouvement.

Le mag de la ville, le 4 mars 2019

Un pas de trois d’une légereté toute poétique, Jean-Claude Gallotta fait danser Sagan, fait vivre ses mots, ses passions, ses fougues. (...) Le public, conquis a longtemps ovationné les danseurs.

Ouest France, le 29 janvier 2019

Sagan sublimée par Jean-Claude Gallotta.

Ouest France, le 26 janvier 2019

Des élans, des désirs et des mots, investis et portés par trois magnifiques danseurs interprètes.

Le Pays D’Auge, le 25 janvier 2019

Jean-Claude Gallotta s’inspire de Françoise Sagan.

Relikto, le 23 janvier 2019

Danse, la plume de Sagan virevolte dans les pas de Gallotta.

La Croix, le 21 janvier 2019

Interview Jean-Claude Gallotta.

Tendance Ouest, le 19 janvier 2019

Le langage du corps vient épouser le langage des mots.

Dauphiné Libéré, le 10 décembre 2018

Jean-Claude Gallotta à la MC2.

RCF, le 20 novembre 2018

Il a créé plus de soixante chorégraphies.

Ouest France, le 9 octobre 2018

Une chorégraphie comme un film.

CCÇDANSE.com, le 16 octobre 2018

Brillant début de saison à l’Oriel avec "Comme un trio".

Dauphiné Libéré, le 29 septembre 2018

Gallotta, Homme de trio.

Les Affiches de Grenoble, le 21 septembre 2018

Intégrale : spéciale Johnny Hallyday .

Stupéfiant, France 2, le 5 mars 2018

Johnny et Sagan, paroles et musique.

Le Journal du Dimanche, 18 mars 2018


juin 2020

Ulysse

Rendant hommage à Homère et à l’écrivain irlandais James Joyce, les interprètes vous emportent dans cette odyssée chorégraphique. Référence culte pour toute une génération, Ulysse Recréation 2021 est une œuvre incontournable. Une page jouissive de l’histoire de la danse dont la beauté des tableaux ne manquera pas de vous éblouir !

Ici par France Bleu et France 3, le 14 mai 2024

En hommage à Homère et à l’écrivain irlandais James Joyce, les interprètes emportent avec fougue le public dans une odyssée chorégraphique. Ils se jettent à l’assaut de l’espace, multiplient les portés, les arabesques…

Le Dauphiné Libéré, le 12 mai 2024

Sur la musique originale de Serge Houppin et Henry Torgue, Jean-Claude Gallotta déploie son abstraction ludique et son humour pour offrir une ode à la liberté du corps en mouvement, au voyage et à la quête. Une page jouissive de l’histoire de la danse dont la beauté des tableaux ne manquera pas d’éblouir les spectateurs !

Les Informations Dieppoises, le 10 mars 2023

Une chorégraphie d’une précision redoutable qui, dans un tourbillon de gestes nous donne à voir toute la richesse de la nouvelle danse. (…) Référence culte pour toute une génération, Ulysse Recréation 2021 est une oeuvre incontournable.

Côté Caen, le 8 février 2023

(...) La danse d’Ulysse est un mouvement perpétuel où la beauté jaillit à chaque instant comme une fulgurance vitale.

Le Dauphiné Libéré, le 6 octobre 2022

La danse est facétieuse, sensuelle et tonique, Gallotta y déploie son abstraction ludique et son humour.

La Semaine du Roussillon, le 20 septembre 2022

Ulysse est un ballet du mouvement pur où sont magnifiées les qualités physiques et chorégraphiques des danseurs, une pièce ardemment vivante.

L’Indépendant, le 23 septembre 2022

Les Affiches de Grenoble : Qu’est ce qu’un ballet blanc ? J.-C.G : Comme le requiem pour les musiciens, les chorégraphes font souvent un ballet blanc dans leur carrière. C’est comme un Graal, quelque chose de mythique qui représente l’abstraction, la pureté, le paradisiaque. Au départ, je voulais juste créer un ballet d’une heure avec du monde. L’idée de le faire en blanc, comme une page blanche, est venue après.

Les Affiches de Grenoble, le 23 septembre 2022

La pièce est d’une redoutable précision d‘écriture, utilisant les principes de la danse répétitive. Le chorégraphe a tiré le meilleur parti de la scénographie tout de blanc et de l’architecture très rigoureuse des lignes de construction. La danse de micro-gestes comme à peine osés, les portés, la multiplication des actions, désamorcent ce que la forme aurait pu avoir de froid. D’autant qu’une foule d’événements curieux (comme la présence d’une dinde vivante sur scène) apportait une singulière distance pour tout esprit de sérieux. C’est une pièce d’ironie, désinvolte et, pour toujours, adolescente.

Philippe Verrièle, Danser Canal historique du 28 mai 2020.


septembre 2020

Le Jour se rêve

Sauts, tournoiements, unissent les dix danseurs en une harmonie plastique qui semble appréhender la scène comme un tableau mouvant sans cesse remodelé. La même frénésie s’empare des corps et peu importe les tailles, les âges, les corpulences, le bonheur du geste transcende les enveloppes : virtuosité de chacun alors que les masques tombent, que les costumes dévoilent les individualités en échappées ludiques. (...) Jean-Claude Gallotta intervient lui-même entre les trois tableaux qui évoquent les troubles solaires de la nature, les vibrations des grandes villes et un avenir aux allures de comédie musicale débridée. Ses apartés qui rendent hommage en même temps qu’ils ironisent sur l’art de la danse, apportent un contre-point délicieusement espiègle. Derrière une fausse innocence enfantine, la précision et l’élégance des artistes tissent un ballet jubilatoire et envoûtant.

Zébuline, le 1er juin 2024

Les deux intermèdes pleins de poésie par Jean-Claude Gallotta lui-même surprennent. Mais ils permettent aux danseurs et aux spectateurs, happés par cette énergie ahurissante, de reprendre leur souffle.(...) Jean-Claude Gallotta a laissé une trace profonde dans l’évolution de la danse contemporaine en France. Et ce n’est pas fini.

Le Dauphiné Libéré, le 2 mai 2024

Z : Vous faites deux courts solos, c’est un plaisir de monter sur scène ? J.-C.G : Je suis un peu âgé, je danse moins aujourd’hui, du moins sur scène. C’est venu d’un pari, il fallait trouver une façon de faire un petit entracte pour que les danseurs soufflent. Quelqu’un m’a dit « pourquoi tu ne le ferais pas, toi ? ». Quand je répète, je m’amuse. Mais quand c’est l’heure du spectacle, le trac me monte, il me faut le dépasser. C’est vrai qu’on peut dire que c’est un hommage à Cunningham, car je l’ai découvert sur scène à l’âge que j’ai aujourd’hui, soit autour des 70 ans. Il me donne du courage, si lui l’a fait je peux essayer de le faire aussi ! Ça me pousse à retrouver de l’énergie. Et puis c’est assez libre, je parle, je danse… Même si je ne suis pas à la hauteur, c’est assez rigolo quand même. J’ai mon moment.

Zébuline, janvier- juin 2023

ML : Quel regard portez-vous sur l’univers de la danse aujourd’hui ? J.-C.G : Tout peut exister. Il y a eu une grande rupture dans les années 90, puis 2000. On peut voir des performances très différentes. Des propositions très intimes comme des ballets. Ce sont les fruits de ce qu’on a essayé de semer. Le public est au rendez-vous, ça marche mieux que le théâtre. Cette offre diversifiée se partage avec le grand public. Avec ce qui se passe dans le monde, offrir des petits moments qui donnent de l’énergie et amènent du positif. On a des choses à dire, on n’est pas là que pour divertir.

Midi Libre, 30 janvier 2023

Les dix danseurs sont acclimatés depuis longtemps à la gestuelle vibrionnante du chorégraphe et leur accord se déploie avec panache sur la bande son pulsatoire signée tout exprès par Rodolphe Burger.

Télérama, 9 mars 2022

On est séduit par la rencontre Gallotta /Burger mais pas si surpris que cela car les compères sont devenus complices sur le plateau et la musique galvanise la horde pour sauts, diagonales et manèges infernaux ! Merce veille au grain de ces comètes lancées à pleine allure dans une chorégraphie cosmogonique de haute volée !

L’amuse-danse par Geneviève Charras, 21 février 2022

On peut aussi considérer ce spectacle comme l’un des plus intimes du chorégraphe français, car il se livre comme rarement dans deux solos météorites. En noir, petit bonnet et lunettes fines, il ressuscite avec ses petits pas New York et les années Merce Cunningham. Égrenant les anecdotes ou récitant des poèmes dada, il est véritablement touchant.

ResMusica, 18 février 2022

Les trois « events » font vingt minutes chacun. Les dix danseurs s’y lancent dans des costumes moulés serrés, académiques, shorts ou maillots, qui ne refusent ni les strass ni la transparence. Ils habitent le mouvement avec un élan irrépressible (…). Le dessin chorégraphique est à l’avenant, lignes, ronde, tours sur soi, portés. De bonnes recettes pour faire monter la température. Le rock de Burger mène le bal avec ses percussions, ses guitares et ses mots répétés.

Le Figaro, 17 février 2022

Dans l’intervalle des ces ensembles frénétiques et pointus, aux figures centrifuges toujours transformées, le chorégraphe lui- même vient frétiller à petits pas en deux solos burlesques.

Télérama, 16 février 2022

Jean-Claude Gallotta est de retour au Rond-Point (…). Avec Le Jour se rêve, sa dernière création, ondoyante et frémissante, hommage délicat à Merce Cunningham, le chorégraphe prouve qu’il n’a rien perdu de l’énergie juvénile qui le caractérise.

Scène Web, 15 février 2022

La chorégraphie de Gallotta convoque la puissance du groupe - pas moins de dix danseurs mus par une énergie ahurissante -, qu’il décline au fil d’interaction sans cesse redistribuées. Dans le tourbillon d’un mouvement ininterrompu, les courses échevelées succèdent aux duos implacables. Succession de sauts de cabri et envolées de pirouettes s’amalgament dans une déflagration permanente. Ingrédient magique de ce Jour se rêve : les intermèdes poétiques ourdis par Gallotta lui-même.

La Croix, 15 février 2022

Gallotta se renouvelle sans fin, en visitant son passé comme on se fait les poches. Sa danse épouse à merveille sa subjectivité à vif.

L’Humanité, 14 février 2022

La prestation des dix danseurs réunis dans ce Ballet, s’avère des plus performantes, alliant précision, virtuosité et élégance, (…) Un spectacle hautement recommandé à tous ceux que le Ballet d’aujourd’hui continue à fasciner. Jean-Claude Gallotta remet à l’honneur la Danse contemporaine qui brille avec éclat dans sa dernière chorégraphie Le jour se rêve.

On-Mag.fr, 13 février 2022

Avec Le Jour se rêve, Jean-Claude Gallotta jette dix danseurs dans l’instant présent avec un sens joyeux de l’arithmétique, des textiles- retro-zinin (...) Au programme ? Rien de moins que « réen-danser » le monde.

ELLE, 13 février 2022

Jean-Claude Gallotta raconte " An Lili " de Rodolphe Burger dans "C’est une chanson" par Frédéric Pommier.

France Inter, 12 février 2022

Interview Jean-Claude Gallotta : " Tout me sert de carburant. Si la pluie frappe fort, s’il y a un tonnerre, ça me fait peur. Mais je le traduis immédiatement en moi. Si tout à coup arrive un rayon de soleil, ou un oiseau qui passe, je traduis également. (...) Tous ces éléments me servent à créer des chorégraphies, de l’intérieur. Ce qui est intéressant, c’est que mon instrument, mon corps, est avec moi tout le temps. C’est comme si je jouais du piano, dans mon corps. "

Le Un Hebdo, 11 février 2022

Jean-Claude Gallotta dans " J’ai un ticket " sur Paris Première.

Paris Première, 10 février 2022

Jean-Claude Gallotta et Rodolphe Burger dans l’émission " Coté Club ".

France Inter, 8 février 2022

« Je ne monte plus si souvent sur le plateau, mais je parviens à y trouver du plaisir, notamment parce que j’ai découvert Merce Cunningham sur scène à l’âge que j’ai désormais. »

Paris Match, 6 février 2022

" De l’humour et de la pensée, de la fantaisie et de l’invention ! En trois tableaux, les corps magnifient les troubles solaires de la nature, les phosphorescences des grandes villes, puis livrent une vision folle de l’avenir dans un spectacle effréné. Entre chaque séquence, Jean-Claude Gallotta lui même danse sur les chansons de Rodolphe Burger."

Théâtre Online, 12 janvier 2022

" Les corps et les mouvements sont à leur essence et jouissent de la seule danse, allégrement pop et savante (…). Ludique, beau, réjouissant.".

Le Petit Bulletin Grenoble, 5 janvier 2022

Interview Jean-Claude Gallotta "Un voyage dans trois univers très différents".

Dauphiné Libéré, 15 nov 2021

Aucune histoire ne se dessine, aucune ambiance particulière, juste de la danse quasi pure. Les moments collectifs, les plus immédiats, fascinent par leur harmonie. Les pas de deux, plus complexes, demandent une plus grande attention. Mais l’énergie des danseurs.euses, impressionnante, emporte totalement. Le soin de la construction scénique classe ce travail remarquable parmi les grands moments de la danse contemporaine.

Magcentre, 9 juin 2021

Bonne pioche, un spectacle de nature à combattre la morosité, à oublier les incertitudes de l’heure. Onze danseuses et danseurs dans un jaillissement continu de postures, de sauts, de pas de deux et de plus ... Un spectacle incroyablement tonique ! (...)

Le Journal du travailleur Catalan, 3 juin 2021

Jean-Claude Gallotta renoue ici avec l’abstraction tout en magnifiant la chair de la danse.

L’Indépendant, 3 juin 2021

Des moments de transe et des instants de douceur où les corps fragmentent l’espace, telle est la gestuelle libre et foncièrement joyeuse de Jean-Claude Gallotta.

La Semaine du Roussillon, 2 juin 2021

Jean-Claude Gallotta est monté sur scène avec des danseurs prodigieux pour présenter la première de le Jour se rêve. Grandiose. (...) Il y a du génie dans cet homme-là. Il a proposé une vraie pépite au public. (...) Trois tableaux incroyablement bien travaillés. L’ensemble est réellement magistral. Délicieux.

La Voix du nord, 8 octobre 2020

J’ai trouvé mon John Cage et ma Robert Raushenberg.

Les Affiches de Grenoble, 18 septembre 2020


octobre 2021

Danse, ma planète, danse

Gallotta : sa danse pour la planète.

Dauphiné Libéré, 17 novembre 2021

Avec Gallotta, la planète ne tourne plus rond...elle danse

Dauphiné Libéré, 18 octobre 2021

Jean-Claude Gallotta, entre de nouveau dans la danse

Dauphiné Libéré, 3 mars 2021


juillet 2021

Climatic’ Danse

Un trio de danseurs, sous la houlette de Jean-Claude Gallotta, (…) se risque à des étreintes tourbillonnantes et voltigeuses, signatures du chorégraphe, pendant que le saxophoniste Peter Corser improvise en douceur.

Le Monde, 21 juillet 2020

Un spectacle de danse contemporaine créé par Jean-Claude Gallotta, ar- tiste associé à Scènes Vosges , avec l’idée de départ de pouvoir être déployé facilement et partout, particulièrement auprès des scolaires. La représentation est donc assez réduite (18 minutes), mais elle n’en est pas moins intense, grâce à l’interprétation de deux danseuses et un danseur qui expriment à la fois la grâce, la précision et la spontanéité. En solos, en duos ou en trios, sur une musique rythmée où le saxophone joue toutes les émotions, ils utilisent leur corps pour envoyer des messages d’urgence et de résilience face à la fragilité du monde.

Vosges matin

Une performance en espace public, pleine de talent et d’émotion où les performeurs habillés de noirs proposent aux spectateurs une vision libre de la danse contemporaine. Un spectacle vivant où le mouvement chorégraphique sublime l’espace et enchante les publics.

Le Dauphiné Libéré


janvier 2023

Pénélope

France 3 Limousin - ICI 12/13 - 31 janvier

Jean-Claude Gallotta démultiplie sa Pénélope en un éventail de danseuses, faisant ainsi de son héroïne la représentante protéiforme de toutes les femmes.

Fréquence Sud, le 9 avril 2024

Dès le premier acte, l’héroïne se démultiplie et s’élance dans une chorégraphie nourrie d’un élan de vitalité croissant jusqu’à l’apothéose finale. Énergique, mais aussi sensuelle et charnelle, la femme d’Ulysse se fait guerrière et indocile. Elle fait le choix de la vie ! Au-delà du mythe, le chorégraphe défend aussi une certaine idée de la danse : "Une expression libre du corps qu’aucun pouvoir ne peut contrôler. C’est un art spontanément rebelle.

La Strada, avril 2024

Les Affiches de Grenoble : Ulysse, c’est le héros d’Homère, mais aussi celui du roman de James Joyce. Parlez-nous de cette double inspiration...

J.-C.G. : Ce n’était pas mon intention de départ. La danse contemporaine pouvant paraître difficile d’accès au grand public, je voulais trouver un titre porteur qui donne l’idée d’un personnage. J’aimais bien Ulysse, j’avais lu Homère et Joyce et je trouvais intéressant d’avoir à la fois le classicisme et la
modernité. C’est un héros dont on connaît le nom, mais qui a été peu imagé et qui pouvait permettre aux gens d’avoir quelque chose à quoi se raccrocher. Et Pénélope alors, la femme d’Ulysse ?

Supplément "Si, nous sortions" - Les Affiches de Grenoble, le 26 janvier 2024

En quatre tableaux, on a affaire à une danse puissamment égalitaire, où femmes et hommes se partagent l’éclat des sauts, la frénésie d’escouades vite formées autant que la délicatesse des frôlements et des esquives. Gallotta lance ses interprètes dans un ballet ludique, irrévérencieux, parcouru d’élans sensuels, d’emboîtements charnels, de décrochés ironiques et de pieds de nez insolents.

Midi Libre, le 4 octobre 2023

La réconciliation finale renvoie à la vision égalitaire des femmes et des hommes que se fait Jean-Claude Gallotta de la danse contemporaine, "le lieu où cet équilibre est naturel".

La Gazette, le 5 octobre 2023

Fidèle à son art du détournement, le chorégraphe grenoblois rend hommage à la danse, à sa vision foncièrement égalitaire des corps et à son pouvoir de décadenasser les esprits.

Les Affiches de Grenoble, le 10 mars 2023

Miroir du ballet blanc Ulysse, Pénélope est un ballet noir, voire noir sur noir, pour jouer avec les rythmes et les nuances que cette « couleur » contient.

Les Informations Dieppoises, le 14 mars 2023

Sur scène, au fil de quatre actes allant de la rivalité à la réconciliation, éclate alors une danse puissamment égalitaire, où femmes et hommes se partagent l’éclat des sauts, la frénésie d’escouades vite formées autant que la délicatesse des frôlements et des esquives. (…) il s’agit pour toutes ces Pénélope démultipliées sur scène de résister aux prétendants. À ces hommes qui en l’absence d’Ulysse parti guerroyer à Troie, veulent piquer la place de roi dans le lit de son épouse. La danse est alors cinglante. Anguleuse. Avec des points de violence contenue, quand Pénélope, d’un coup vient par exemple frapper de son corps jeté à l’horizontale les cinq bustes masculins serrés les uns contre les autres. Mais celle ci a peut-être aussi gouté aux plaisirs sensuels, comme l’expriment ses reptations arachnéennes mimant les langueurs de la volupté. (…) En guise d’intermèdes, telle une rêverie enveloppant l’ensemble, des images filmés d’un vieux couple. Leur timide et touchant ballet gestuel nous rappelle, à propos, que lorsqu’Ulysse retrouve enfin Pénélope l’horloge de l’amour a déjà beaucoup tourné. Le message ne manque pas de mélancolie, alors que l’élan final s’enracine, lui, dans cette énergie de groupe dont Gallotta a toujours eu le secret. Où les ensembles endiablés sont la source de toutes les rencontres , de toutes les inventions, de toutes les joies de danser.

Télérama, le 8 février 2023

Comme le dit Pénélope, en prélude à ce premier tableau baptisé Les prétendants, « tous les roitelets me courtisent contre mon gré et mangent ma maison ». En costume brillant noir, ces prétendants portent pourtant la noble Pénélope dans leurs bras dans un tableau émouvant.

ResMusica, le 16 janvier 2023

Le résultat est une danse généreuse pleine de vitalité, moins cérébrale que par le passé, parfois charnelle. Une danse qui respire le bonheur de danser(...)

WebThéâtre, le 18 janvier 2023

On retrouve ici, la pure énergie des élans et échanges charnels et l’ insolence juvénile de Jean-Claude Gallotta.

Théâtre du blog, le 16 janvier 2023

"Tout sauf statique, la figure de Pénélope se démultiplie chez Jean-Claude Gallotta en un ballet foisonnant où danseurs et danseuses dialoguent à égalité."

Scène Web, le 17 janvier 2023

En fait , on assiste là à une prouesse qui approche la perfection. Les danseurs sont tous admirables. Jean-Claude Gallotta nous a habitués à de beaux spectacles, notamment les quatre versions d ’Ulysse mais, cette fois, il se surpasse, nous surprend et nous émerveille.

Critique Théâtre, le 16 janvier 2023

ll y a toujours cette joie de danser, cette jubilation de traverser l’espace sans contrainte, ces courses d’où émergent des petits sauts espiègles. La danse de Gallotta semble rester, immuable, à l’endroit du mouvement, fait d’ensembles bien développés, de duo très entrelacés, de corps mêlés dans leurs différences…

La Terrasse, le 16 janvier 2023

Cette intention chorégraphique entraîne à sa suite l’insolente vitalité de sa dizaine de danseurs dans des solos aériens, des pas de deux acrobatiques, et des ensembles remarquablement toniques toujours dans une atmosphère follement spontanée ! Ne quittant jamais la scène, les danseurs se donnent à la chorégraphie avec une vigueur incroyable, les corps racontent la vie, des regards aux phalanges jusqu’aux mouvements de cheveux.

Le Blog de Laurence Caron, le 16 janvier 2023

Disons d’emblée qu’on est émerveillé par la synchronisation impeccable des gestes, l’ossature de la pièce puissamment construite en un énorme volume de mouvements, sur une heure vingt de durée. Pénélope, toute de noir vêtue, de petits chaussons de cuir aux pieds, déboule sur la scène, portant avec ostentation un deuil désavoué par des gestes qui en disent long : bras tendus, cuisses musclées exhibées, déplacements de profll, le pouce en l’air (clin d’oeil au Faune, de Nijinski). Tout en elle dit la force vitale, le désir intact. Cela passe par le théâtre des pulsions et se, joue aussi en sourdine, avec ce doigt malin sur la bouche qui impose le silence.

L’Humanité, le 17 janvier 2023

Sur fond d’images de film, le surgissement de la gestuelle gallottienne et l’espace électrisé de mouvements convoquent la figure superbe de l’amour et de l’attente qu’est Pénélope.

Télérama, le 29 décembre 2022

Et comme on est dans l’univers Gallotta, sous la précise architecture chorégraphique, on retrouve les petites touches d’humour, les élans de sensualité, quelques pincées d’ironie... Décidément, une pièce de Gallotta, c’est toujours enthousiasmant...

Le Dauphiné Libéré, le 4 janvier 2023


juillet 2023

Ulysse, grand large

Dans une alternance festive de duos, de solos et d’ensembles remarquablement construits, Ulysse Grand Large, 42 ans après, sa création reste infiniment moderne. Paradoxalement, elle est pourtant la pièce la plus datée des trois vues à Montpellier Danse. Non pas qu’elle ait mal vieilli. Mais elle distille une atmosphère joyeuse, gaie et une insolente énergie, quelque chose que l’on ne voit plus aujourd’hui dans un monde devenu menaçant. Comme un clin d’œil aux souvenirs et au temps qui passe, Jean-Claude Gallotta s’immisce parmi ses interprètes, ludion clownesque et d’une douce drôlerie, faisant semblant ici ou là de corriger une position, l’angle d’une arabesque ou le placement des bras.

Danse avec la Plume, le 8 juillet 2023

Le chorégraphe emblématique de la « nouvelle danse française », longtemps directeur à Grenoble d’un des premiers Centres Chorégraphiques Nationaux et aujourd’hui à la tête du Groupe Émile Dubois, (...) tenait absolument à voir remontée Ulysse, sa pièce maîtresse créée en 1981, dans une version plein air. Ce sera chose faite avec Ulysse, grand large qu’il interprètera lui-même comme aux premiers jours dans le cadre enchanteur du Théâtre de l’Agora.

La Terrasse, le 26 février 2023

Facétieux, le chorégraphe régulièrement repris son oeuvre, proposant au moins quatre autres versions d’Ulysse au fil des ans, changeant le nombre de danseurs, leur style, les compositeurs pour capter à chaque fois les vibrations de son époque… Pour Montpellier Danse, Gallotta a accepté de créer une adaptation spéciale pour une scène en pleine air, d’où le titre, Ulysse, Grand large, une version inédite où ne manqueront, ni les brises marines, ni les cris des oiseaux.

Actu.fr le 3 juillet 2023

Au diable le pessimisme ambiant, avec Ulysse, Grand Large (…) nous allons assister à une heure vingt de purs moments de danse où Gallotta joue sur les trois éléments fondateurs, le rythme, l’espace et le temps, pour nous subjuguer et nous emporter autant par de petits gestes délicats que par l’énergie des mouvements d’ensemble. (...) Les dix danseuses et danseurs sont magnifiques, leurs gestes précis et généreux. Et l’arrivée, de temps en temps du "capitaine" qui "favorise" une entrée,"amorce" un mouvement, "accompagne" un duo ou tout simplement déambule sur la scène pour"apprécier" son oeuvre, amène à la fois une touche de nostalgie, ou d’humour, ou de bienveillance,ou même d’autodérision. Le "vieux" maître (...) nous a offert ce soir avec la jeunesse de sa troupe un vent frais qui soufflait sur la danse et sur cette chorégraphie qui porte bien ses quarante et quelques années et à qui on souhaite encore bon vent, maintenant qu’elle est inscrite au "répertoire".

La fleur du dimanche, le 2 juillet 2023

Sous le ciel d’une nuit redevenue calme, à peine la dernière séquence de cet Ulysse, grand large, embarquée d’enthousiasme par dix danseurs en grande forme, une houle d’ovation se lève, s’enfle et inonde le plateau.(…) C’est parce qu’elle lutte e, permanence contre la mort que la danse d’Ulysse se doit de renaitre, différente de version en version, mais avec cette jubilation allègre qui fait le bonheur de ceux qui y assistent.

Danser, canal historique, le 6 juillet 2023


février 2024

Cher Cinéma

Interview : Jean-Claude Gallotta : "Le cinéma est une fenêtre sur le monde"
Quelle place occupe le cinéma dans votre vie ?

J.-C.G. Une place énorme ! Pour moi, venant d’un milieu populaire, le cinéma représentait l’évasion et la culture. Il me donnait des références pour des lectures, pour de la musique et des pays. C’était vraiment une fenêtre sur le monde.

En quoi est-ce une source d’inspiration ?

J.-C.G. Quand j’ai appris la danse, tardivement, à 22 ans, je ne connaissais pas trop les chorégraphes. J’ai donc essayé d’appliquer ce que j’avais vu au cinéma. Par exemple, le néoréalisme italien utilise des non-professionnels, des vieux, des jeunes… Pourquoi ne pas faire la même chose dans la danse ? C’était assez révolutionnaire, car à l’époque, les danseurs devaient être jeunes et beaux. J’ai apporté cette dimension plus humaine.

Quels sont les liens qui unissent cinéma et danse ?

J.-C.G. La dramaturgie, c’est-à-dire la manière de créer quelque chose qui dure une heure ou plus. Dans Cher cinéma, nous avons fait les choses simplement : le plateau est nu, comme un écran. Mais il y a les lumières qui permettent des variations, tandis que la musique aide à passer d’un plan à l’autre.

Les Affiches de Grenoble, 29 mai 2025

Cher Cinéma ou une invitation à un voyage dansant au coeur du cinéma. Douze tableaux, douze rencontres, douze hommages, douze émotions. Fellini, Anne-Marie Miéville, Bertrand Blier, Léos Carax, Nanni Moretti, Patrice Chéreau... entre autres ont marqué Jean-Claude Gallotta et influencé son travail. « Je voulais rendre hommage au cinéma, qui est pour moi un modèle artistique », confie le chorégraphe. Une ambition vertigineuse tant le 7ème Art est vaste. « Je me suis rappelé que j’avais rencontré de nombreux cinéastes. J’en ai sélectionné douze et j’ai décidé de raconter notre rencontre à travers la danse. Chaque tableau est une réinterprétation chorégraphique de l’univers du cinéaste, mais sans tomber dans l’illustration. C’est une danse inspirée de leur âme, de ce qu’ils m’ont transmis ».

L’Antibois, mars 2025

Ce spectacle du si sensible chorégraphe nous emporte loin (...) la symbiose des interprètes est frappante. Ensemble, ces femmes et ces hommes vibrent d’une pulsation aussi organique (...) Cher Cinéma s’appuie aussi sur de très beaux moments. Comme cette évocation de la mort de Jean-Luc Godard, ou le danseur et la danseuse se tiennent suspendus au ras du sol pour tourner ensemble avec une extrême lenteur. (...) la danse du chorégraphe faite de gestes volatils, d’attentions à l’autre, d’accélérations détonnantes ou de relâchements sensuels, est contemporaine depuis longtemps...

Télérama, le 1 er mai 2025

Dans le cadre de la 13e édition du festival parisien Séquence Danse au 104, Jean-Claude Gallotta nous livre un hommage touchant, élogieux, mais sobre, au 7ème Art, à travers sa toute dernière pièce, Cher Cinéma. Une heure de témoignages intimes, construits tel un puzzle et traversés par l’ardeur de sa danse si particulière, si intarissable. (...) Un flux fugitif de mouvements qui s’envole vers un autre univers pulsatile. Plan séquence, travelling, gros plan sur neuf danseurs et danseuses en costumes-cravates et chemises blanches, qui sont étonnement imprégnés de cet élan gallottien, aussi primesautier qu’ardent. Entre ensembles et duos, ils et elles envahissent tout l’espace de grands-jetés fougueux et tours attitudes convulsifs. La troupe s’agglutine et s’éclate, les lignes se confondent tout azimut mais en harmonie, mêlant précision et sensibilité. (...) Le caressant langage gallottien gambade aisément, allant même jusqu’à accentuer les bouts des doigts de ses interprètes, éclairés en gros plan par des lampes de poche. Le fringuant chorégraphe, tout sauf artificiel, nous prouve une fois de plus que l’audace n’a pas d’âge. Cher Jean-Claude Gallotta, ce que j’ai appris de vous… de la justesse !

Resmusica, le 26 mars 2025

Le conseil culturel sans algorithme de Jean-Claude Gallotta. Dans sa sélection, musique, cinéma, livre, théâtre… Michka Assayas - Le Nouveau dictionnaire du rock ; Samuel Beckett - Soubresauts ; Brian Eno et David Byrne - My Life In The Bush Of Ghosts ; Gilles Perret - La Ferme des Bertrand ; Katell Quillévéré - Suzanne ; Erwan Le Duc - La Fille de son père ; Nadège Trebal - Douze mille ; Maybe Merlin - Life Is a Trampoline ; Pierre Guillois et Olivier Martin-Salvan - Les Gros patinent bien ; Strigall Antoine Strippoli - Seun Hey Shoot ; Valérie Perrin - Changer l’eau des fleurs.

Vive la culture, le 21 mars 2025

Cher Cinéma ouvre magistralement la 13e édition du festival Séquence Danse, temps fort chorégraphique initié par le Centquatre-Paris. Jean-Claude Gallotta y rend un hommage franc et intime aux rencontres de cinéma qui ont jalonné son parcours, déploie une amplitude électrique et se renouvelle une fois de plus avec une vibrante ardeur.(...)

SceneWeb.fr, le 20 mars 2025

Jean-Claude Gallotta nous régale avec une chorégraphie dynamique pleine d’énergie et de créativité. Des mouvements à l’unisson impeccables, des duos sensibles et dynamiques et une créativité sans cesse renouvelée. Il capte l’énergie de la rencontre qu’il raconte et la retranscrit en mouvements. Il transfigure son souvenir pour créer une chorégraphique originale.(...) Il y a de l’art là-dedans, comme l’a dit Godard après une représentation d’un spectacle de Jean Claude Gallotta et oui assurément, et pour notre plus grand plaisir…

Arts-Chipels.fr, le 21 mars 2025

Jean-Claude Gallotta invité à Culturebox, le show.

Culturebox, le show le 17 mars 2025

Jean-Claude Gallotta invité à France Culture - Plan Large d’Antoine Guillot.

France Culture, le 15 mars 2025

Le festival s’ouvre d’abord sur la nouvelle création de Jean-Claude Gallotta, unique occasion qu’il faut saisir afin de voir cet hommage du chorégraphe au cinéma cette saison en Ile-de-France. Cher Cinéma porte bien son nom : dès les années 80, les films et collaborations avec des artistes du 7e art n’ont cessé chez le chorégraphe, que ce soit pour ses propres réalisations, ou en travaillant auprès de Claude Mouriéras, Raul Ruiz, ou Bertrand Blier. Même son écriture chorégraphique, depuis Ulysse, porte les traces de cet amour du cinéma, qu’il réinvestit ici dans une pièce pour neuf danseurs et danseuses.

La Terrasse, février 2025

Le jeu est dynamique et dans la salle nous aimons quand l’ensemble se groupe, traversant la scène en une gestuelle synchronisée, cadrée au millimètre près (...) Le mouvement de la vie en quelque sorte avec en plus l’harmonie, la beauté, la sensualité et la précision du geste.

L’Hebdo 18, le 28 novembre 2024

Jean-Claude Gallotta leur dédie des lettres intimes et poétiques, racontant en voix off souvenirs et anecdotes, faisant de la danse un cadeau personnalisé pour chacun.

Le Berry Républicain, le 21 novembre 2024

Une chorégraphie envoutante et nerveuse de plus d’une heure, qui paraît si évidente dans toutes ses gestuelles et tous ses déplacements, alors qu’il n’en est rien et qu’il faut aux neuf danseurs et danseuses ne pas se perdre dans les labyrinthes et méandres inventés pour eux. Toutes et tous possèdent le même désir et plaisir de les parcourir passionnément au fil des mots puis des rythmes, sans jamais perdre le souffle ni le dynamisme. Un superbe spectacle.

Musicologie, le 6 novembre 2024

Journal Télévisé de France 3 Alpes Ici 19/20 du vendredi 25 octobre



■ O-F : Vous dites que votre seule école a été le cinéma ? ■ J.-C. G. : Venant d’une famille d’immigrés et d’ouvriers qui était très éloignée du monde de la culture, c’est réellement le cinéma qui m’a permis de devenir celui que je suis. Je me suis beaucoup nourri, j’ai beaucoup voyagé grâce au cinéma car c’est l’art le plus immédiat, le plus accessible. La littérature aussi m’a nourri mais comme je ne viens pas du monde de la danse, j’ai fait des études d’art, c’est par le dessin et le cinéma que je suis arrivé dans la danse. Je reste passionné de cinéma, je suis comme les collectionneurs fous, j’amasse des livres sur le sujet et j’aurais rêvé d’être critique de cinéma. Aujourd’hui encore j’écris des notes et des analyses sur chaque film que je vois.

Ouest France, le 22 octobre 2024

Dans les années 80-90, j’avais le vent en poupe et la nouvelle danse contemporaine française était à la mode, il y avait une sorte d’effervescence, qui intéressait les cinéastes. Grâce à cela, j’ai fait des rencontres humaines extraordinaires, avec Jean-Luc Godard, Federico Fellini, Raul Ruiz, Claude Mouriéras, même si beaucoup de projets ne se sont pas réalisés. C’est pourquoi ce spectacle est une sorte de lettre hommage dans laquelle je raconte tous ces souvenirs, ces anecdotes en voix off. Et à partir de ce point de départ, je propose une danse comme une offrande secrète, comme un bouquet. Il n’y a pas d’image projetée, la composition se garde d’imiter la musique de film, mais nous essayons de faire entendre un « son cinéma ». Quant à la lumière, Manuel Bernard a quasiment filmé avec sa lumière, dans sa façon de caresser les corps, tout en maîtrisant un rythme, comme un flux qui donne vraiment une impression de saisissement, d’éblouissement. C’est une pièce très intime, très poétique, qui permet d’entrer dans un autre univers. Il n’y a aucune illustration, tout est dans l’évocation de notre métier, de la nuit, de fantômes, qui ne font pas peur mais nous accompagnent. Ainsi s’immiscent du désir, du charnel et du spirituel. Et de la douceur dans ce monde chaotique. »

La Terrasse, le 22 octobre 2024

Cher Cinéma est alors une évocation. Une remembrance. Avec des corps, des mots, des mouvements, des lumières (...) Un peu à la manière de ces fresques antiques qui s’effacent trop vite au contact de l’air (Roma de Fellini), Cher Cinéma est une danse qui connait sa propre fugitivité. Dans les plis de sa mémoire, le grave et l’ironique se liguent sur la scène pour résister aux assauts du présent. Où il se change, si possible et sans faillir, en un bel aujourd’hui.

SceneWeb.fr, le 8 septembre 2024

Danse : les spectacles les plus attendus de la rentrée 2024 « (…) aimant les mots presque autant que les mouvements, Jean-Claude Gallotta prend ici la peine d’écrire des lettres à Fellini, Carax, Godard, Miéville, Guédiguian, Chéreau ou Moretti.... Comment la danse répondra-t-elle à chacun de ces univers ? (...) Parions que dans leurs costumes noirs (comme souvent), ses talentueux complices vont relever le défi ».

Télérama, le 06 septembre 2024

C’est un nouveau spectacle autour du 7e art que le chorégraphe Jean-Claude Gallotta a imaginé pour enchanter l’automne de la danse.

La Croix, le 29 août 2024

Jean-Claude Gallotta livre une véritable lettre intime adressée aux cinéastes par neuf danseurs virtuoses, une pièce à ne pas manquer.

Fréquence Sud, le 30 juillet 2024

MD : Comment est né le projet de "Cher Cinéma" ? J.-C.G. : C’est un hommage aux cinéastes que j’ai croisés dans ma vie. Et moi, j’aime bien les hommages, ça me booste, me donne une impulsion pour pouvoir parler des choses. Ça me permet de tremper ma danse, qui est spécifique, abstraite et singulière, dans d’autres univers. J’avais déjà rendu hommage au rock avec My Rock (2015), My Ladies Rock (2019) et je voulais honorer le cinéma. Mais au départ, c’était un océan, ça m’a fait peur. Alors je me suis souvenu de mes rencontres avec des cinéastes... J’en ai réuni douze,avec qui j’ai fait des projets (qui ont abouti ou pas), que j’admire. Comme Fellini, Bertrand Blier, Claude Mouriéras, Anne-Marie Miéville, Nanni Moretto, Robert Guédiguian, Raul Ruiz, Léos Carax, Jean- Luc Godard...

MD : Quelle forme prendra cet hommage ?  
J.-C.G. : En fait, je leur parle. Je leur ai écrit une lettre où je leur parle intimement, pour rappeler ce qui s’est passé entre nous et , à la suite de ça, j’offre une danse. Comme un cadeau personnalisé. Je ne fais pas d’illustration de son œuvre ou d’un film. c’est vraiment un rapport humain. Même si beaucoup ont disparu, comme Patrice Chéreau que l’on travaille cette semaine, je raconte notre rencontre en voix off, et les deux danseurs lui offrent leur danse.

Midi Libre, le 22 février 2024

Jean-Claude Gallotta, accompagné par les danseurs du Groupe Émile Dubois, se penche sur les grands noms de la pellicule qui ont marqué son cheminement artistique.(...) Une sortie de résidence pour une première ébauche chorégraphique sans frontières.

Midi Libre, le 19 février 2024