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Le Jour se rêve

Z : Vous faites deux courts solos, c’est un plaisir de monter sur scène ? J.-C.G : Je suis un peu âgé, je danse moins aujourd’hui, du moins sur scène. C’est venu d’un pari, il fallait trouver une façon de faire un petit entracte pour que les danseurs soufflent. Quelqu’un m’a dit « pourquoi tu ne le ferais pas, toi ? ». Quand je répète, je m’amuse. Mais quand c’est l’heure du spectacle, le trac me monte, il me faut le dépasser. C’est vrai qu’on peut dire que c’est un hommage à Cunningham, car je l’ai découvert sur scène à l’âge que j’ai aujourd’hui, soit autour des 70 ans. Il me donne du courage, si lui l’a fait je peux essayer de le faire aussi ! Ça me pousse à retrouver de l’énergie. Et puis c’est assez libre, je parle, je danse… Même si je ne suis pas à la hauteur, c’est assez rigolo quand même. J’ai mon moment.

Zébuline, janvier- juin 2023

ML : Quel regard portez-vous sur l’univers de la danse aujourd’hui ? J.-C.G : Tout peut exister. Il y a eu une grande rupture dans les années 90, puis 2000. On peut voir des performances très différentes. Des propositions très intimes comme des ballets. Ce sont les fruits de ce qu’on a essayé de semer. Le public est au rendez-vous, ça marche mieux que le théâtre. Cette offre diversifiée se partage avec le grand public. Avec ce qui se passe dans le monde, offrir des petits moments qui donnent de l’énergie et amènent du positif. On a des choses à dire, on n’est pas là que pour divertir.

Midi Libre, 30 janvier 2023

Les dix danseurs sont acclimatés depuis longtemps à la gestuelle vibrionnante du chorégraphe et leur accord se déploie avec panache sur la bande son pulsatoire signée tout exprès par Rodolphe Burger.

Télérama, 9 mars 2022

On est séduit par la rencontre Gallotta /Burger mais pas si surpris que cela car les compères sont devenus complices sur le plateau et la musique galvanise la horde pour sauts, diagonales et manèges infernaux ! Merce veille au grain de ces comètes lancées à pleine allure dans une chorégraphie cosmogonique de haute volée !

L’amuse-danse par Geneviève Charras, 21 février 2022

On peut aussi considérer ce spectacle comme l’un des plus intimes du chorégraphe français, car il se livre comme rarement dans deux solos météorites. En noir, petit bonnet et lunettes fines, il ressuscite avec ses petits pas New York et les années Merce Cunningham. Égrenant les anecdotes ou récitant des poèmes dada, il est véritablement touchant.

ResMusica, 18 février 2022

Les trois « events » font vingt minutes chacun. Les dix danseurs s’y lancent dans des costumes moulés serrés, académiques, shorts ou maillots, qui ne refusent ni les strass ni la transparence. Ils habitent le mouvement avec un élan irrépressible (…). Le dessin chorégraphique est à l’avenant, lignes, ronde, tours sur soi, portés. De bonnes recettes pour faire monter la température. Le rock de Burger mène le bal avec ses percussions, ses guitares et ses mots répétés.

Le Figaro, 17 février 2022

Dans l’intervalle des ces ensembles frénétiques et pointus, aux figures centrifuges toujours transformées, le chorégraphe lui- même vient frétiller à petits pas en deux solos burlesques.

Télérama, 16 février 2022

Jean-Claude Gallotta est de retour au Rond-Point (…). Avec Le Jour se rêve, sa dernière création, ondoyante et frémissante, hommage délicat à Merce Cunningham, le chorégraphe prouve qu’il n’a rien perdu de l’énergie juvénile qui le caractérise.

Scène Web, 15 février 2022

La chorégraphie de Gallotta convoque la puissance du groupe - pas moins de dix danseurs mus par une énergie ahurissante -, qu’il décline au fil d’interaction sans cesse redistribuées. Dans le tourbillon d’un mouvement ininterrompu, les courses échevelées succèdent aux duos implacables. Succession de sauts de cabri et envolées de pirouettes s’amalgament dans une déflagration permanente. Ingrédient magique de ce Jour se rêve : les intermèdes poétiques ourdis par Gallotta lui-même.

La Croix, 15 février 2022

Gallotta se renouvelle sans fin, en visitant son passé comme on se fait les poches. Sa danse épouse à merveille sa subjectivité à vif.

L’Humanité, 14 février 2022

La prestation des dix danseurs réunis dans ce Ballet, s’avère des plus performantes, alliant précision, virtuosité et élégance, (…) Un spectacle hautement recommandé à tous ceux que le Ballet d’aujourd’hui continue à fasciner. Jean-Claude Gallotta remet à l’honneur la Danse contemporaine qui brille avec éclat dans sa dernière chorégraphie Le jour se rêve.

On-Mag.fr, 13 février 2022

Avec Le Jour se rêve, Jean-Claude Gallotta jette dix danseurs dans l’instant présent avec un sens joyeux de l’arithmétique, des textiles- retro-zinin (...) Au programme ? Rien de moins que « réen-danser » le monde.

ELLE, 13 février 2022

Jean-Claude Gallotta raconte " An Lili " de Rodolphe Burger dans "C’est une chanson" par Frédéric Pommier.

France Inter, 12 février 2022

Interview Jean-Claude Gallotta : " Tout me sert de carburant. Si la pluie frappe fort, s’il y a un tonnerre, ça me fait peur. Mais je le traduis immédiatement en moi. Si tout à coup arrive un rayon de soleil, ou un oiseau qui passe, je traduis également. (...) Tous ces éléments me servent à créer des chorégraphies, de l’intérieur. Ce qui est intéressant, c’est que mon instrument, mon corps, est avec moi tout le temps. C’est comme si je jouais du piano, dans mon corps. "

Le Un Hebdo, 11 février 2022

Jean-Claude Gallotta dans " J’ai un ticket " sur Paris Première.

Paris Première, 10 février 2022

Jean-Claude Gallotta et Rodolphe Burger dans l’émission " Coté Club ".

France Inter, 8 février 2022

« Je ne monte plus si souvent sur le plateau, mais je parviens à y trouver du plaisir, notamment parce que j’ai découvert Merce Cunningham sur scène à l’âge que j’ai désormais. »

Paris Match, 6 février 2022

" De l’humour et de la pensée, de la fantaisie et de l’invention ! En trois tableaux, les corps magnifient les troubles solaires de la nature, les phosphorescences des grandes villes, puis livrent une vision folle de l’avenir dans un spectacle effréné. Entre chaque séquence, Jean-Claude Gallotta lui même danse sur les chansons de Rodolphe Burger."

Théâtre Online, 12 janvier 2022

" Les corps et les mouvements sont à leur essence et jouissent de la seule danse, allégrement pop et savante (…). Ludique, beau, réjouissant.".

Le Petit Bulletin Grenoble, 5 janvier 2022

Interview Jean-Claude Gallotta "Un voyage dans trois univers très différents".

Dauphiné Libéré, 15 nov 2021

Aucune histoire ne se dessine, aucune ambiance particulière, juste de la danse quasi pure. Les moments collectifs, les plus immédiats, fascinent par leur harmonie. Les pas de deux, plus complexes, demandent une plus grande attention. Mais l’énergie des danseurs.euses, impressionnante, emporte totalement. Le soin de la construction scénique classe ce travail remarquable parmi les grands moments de la danse contemporaine.

Magcentre, 9 juin 2021

Bonne pioche, un spectacle de nature à combattre la morosité, à oublier les incertitudes de l’heure. Onze danseuses et danseurs dans un jaillissement continu de postures, de sauts, de pas de deux et de plus ... Un spectacle incroyablement tonique ! (...)

Le Journal du travailleur Catalan, 3 juin 2021

Jean-Claude Gallotta renoue ici avec l’abstraction tout en magnifiant la chair de la danse.

L’Indépendant, 3 juin 2021

Des moments de transe et des instants de douceur où les corps fragmentent l’espace, telle est la gestuelle libre et foncièrement joyeuse de Jean-Claude Gallotta.

La Semaine du Roussillon, 2 juin 2021

Jean-Claude Gallotta est monté sur scène avec des danseurs prodigieux pour présenter la première de le Jour se rêve. Grandiose. (...) Il y a du génie dans cet homme-là. Il a proposé une vraie pépite au public. (...) Trois tableaux incroyablement bien travaillés. L’ensemble est réellement magistral. Délicieux.

La Voix du nord, 8 octobre 2020

J’ai trouvé mon John Cage et ma Robert Raushenberg.

Les Affiches de Grenoble, 18 septembre 2020